Les champs

Ici, vous cultiver tout ce dont vous avez besoin pour cuisiner et vous pouvez aussi aller y faire un petit pique-nique en famille.

Il se mit à courir après les insectes imaginaires en criant comme un guerrier. Atlance suivait aussi.

Il n'en reste que très peu !!! Prends ceux à droite, je prendrai les deux qui sont là !!

*Pourvu que ce que je ressens ne soit pas des insectes...*

"ok chevalier ,mais c'est moi qui commande la prochaine fois !"

dit-il en allant vers la droite et en donnant des coups dans le vide

Oui, Wellan, je m'excuse, dit-il en en achevant le premier insecte.

Il s'était attendu à la réaction de son frère. Même s'il n'avait pas joué Wellan, il aurait sûrement réagi de la même façon.

Puis, ressentant encore le même danger et le Chevalier ne lui ayant pas réponde, il s'arrête brusquement et reprit son visage de Nemeroff. Il s'approcha d'Atlance et le regarda d'un air sérieux.

- Atlance, je ressens une grande menace près du château... nous devrions rentrer et je vais appeler maman et papa. D'accord ?

Il ne voulait pas inquiéter son frère, mais il devait le protéger et rester sincère avec lui. Il aurait dû être au Château, mais s'il y avait une menace, son père viendrait les chercher.

"non je ne veux pas les voir je veux continuer à jouer !"

protesta-t-il en continuant de jouer !

il croisa les bras !

"non je veux retourner dehors !"

il se dirigea vers la porte !

-Atlance, ne rouspète pas !!! Nous sommes en danger en restant ici... tu voudrais que l'immortel t'enlève encore une fois ?

Il ne voulait pas effrayer son frère, mais c'était bien la seule façon pour lui de réussir à le faire rentrer.

- Si tu rentres, il ne pourra pas nous faire de mal. Allez, je t'en prie, je t'aime Atlance, je ne veux pas qu'il t'arrive malheur. Et on doit protéger Fabian et Maximilien. Nous sommes les hommes de la maison !

il rentra en courant lorsque son frère reparla de l'immortel !

"papa et maman ont dit qu'il ne me prendrait pu jamais !"

Il sourit, fier de son coup, mais ne voulant pas l'effrayer, il mit son bras gentimment autour de ses épaules. Ils rentrèrent donc ensemble.

- Et ils avaient raison. Si on reste bien en sécurité à l'intérieur, rien ne pourra nous arriver. Papa a mit un sort sur la maison. Aucune personne maléfique ne peut la voir ou ressentir les personnes à l'intérieur, inventa-t-il pour le rassurer. On continue à jouer ?

"J'aime mieux jouer dehors en dedans ça me fait trop voir mon ancien papa et mon ancienne maman !"

dit-il avec détachemetn !

Avec un sourire en coin, il regarda son petit frère avec amusement.

Tu parles souvent d'eux il me semble... ils te manquent ? demanda-t-il ironiquement.

"Non ils ne me manquent pas du totu "

mentit-il, ses parents lui manquaient terriblement, mais il voulait avoir l'air de l'indépendant !

Attristé de voir à quel point ses parents lui manquaient à lui aussi, car il avait sondé son frère et découvert son petit secret, Nemeroff se dit qu'il était grand temps qu'Atlance s'ouvre aux autres.

Atlance, avoua-t-il, ils me manquent beaucoup à moi aussi. J'ai sondé ton coeur, je sais que tu les aimes plus que tout et qu'ils te manquent. Mais ils reviennent toujours. Tu as parfaitement le droit de t'ennuyer d'eux tu sais.

"tu n'As pas le droti de me sonder !"

dit-il faché

- Je sais que c'est frustrant pour toi, mais quand je ressens toute la détresse de ton coeur, je ne peux pas m'en empêcher, dit-il en lui envoyant une bonne vague d'apaisement.

Il le serra contre lui puis le regarda.

- Je t'aime Atlance, et je déteste te voir souffrir. Ne refuse pas l'amour qu'on t'offre. Sinon, tu seras malheureux toute ta vie. Même le plus grand des Chevaliers peut parfois ressentir de la tristesse tu sais.

il se défi de l'étreinte de son frère !

"Non je ne suis aps triste et je ne m'ennuie pas !"

il continue de jouer pour que son frère arrête de lui en parler

- Comme tu veux, dit-il.

Puis, il alla dans un coin loin d'Atlance et fit semblant de pleurer. Quand il étais petit, il avait longtemps utiliser cette technique pour faire chantage à ses parents. Il avait appris à faire sortir de vraies larmes, mais sans vraiment avoir envie de pleurer.

Atlance croirais qu'il n'était encore qu'un enfant, mais peu importe, il n'avait plus aucune idée pour lui faire entendre raison.

il reste de son coté puis va le voir !

"Nemeroff pourquoi tu pleures ?"

demanda-t-il intriguée

Il se retourna pour qu'Atlance puisse voir ses larmes.

Je suis triste parce que tu ne m'aimes pas autant que moi je t'aime, dit-il faiblement, sentant que les vraies larmes arrivaient malgré lui.

Hj: Bonne nuit !!

il baissa la tête !

"Nemeroff ce n'est pas toi que je n'aimes pu c'est ton papa et ta maman au contraire toi je t'aime encoreplus "

il lui fit une caresse et luid onna unbec !

il le regarda ne sachant pas trop comment réagir...

"Non je ne serai pas seuls parce que toi tu es la, Fabian aussi et Maximilien aussi !"

dit-il en venant aux côtés de Nemeroff et aux côtés du berceau

Nemeroff, en voyant son père, sécha vite ses larmes et se tourna vers lui ensuite, tout souriant.

**Papa, fais quelque chose, Atlance ne vous veut même plus pour parents maman et toi. Je ne suis pas capable de le raisonner**

Puis, il se jeta dans les bras de son père.

Papa ! s'exclama-t-il.

Il se trouvait tellement chanceux d'avoir encore son père, contrairement à ses camarades.